Résumé de recherche 99

Les données sur les transactions économiques sont essentielles pour que les administrations fiscales soient en mesure de faire respecter la législation fiscale, et la technologie peut jouer un rôle clé dans l’obtention de l’information. Au cours de la dernière décennie, les administrations fiscales africaines ont de plus en plus adopté des avancées technologiques telles que les systèmes intégrés, la déclaration électronique et les logiciels de facturation électronique (EBM). Ces logiciels permettent aux contribuables de numériser leurs transactions et de transférer automatiquement les informations de facturation à l’administration fiscale. Grâce à leur potentiel élevé, les entreprises peuvent réduire leurs coûts administratifs et de conformité, rationaliser les transactions, améliorer la tenue des registres, renforcer leur capacité administrative et, dans le cas des petites entreprises, améliorer leur capacité à attirer des clients et à se lancer dans des activités commerciales grâce à une précision accrue et à une plus grande transparence.

Résumé du document no. 30 sur l’administration fiscale en Afrique.

Auteurs

Naphtal Hakizimana

Naphtal Hakizimana is a Research and Policy Analyst at the Rwanda Revenue Authority.

Fabrizio Santoro

Fabrizio is a Research Fellow at the Institute of Development Studies, and the Research Lead for the second component of the ICTD's DIGITAX Research Programme. His main research interests relate to governance, public finance, and taxation, with a strong focus on impact evaluation methodologies and statistical analysis. He holds a PhD in Economics from the University of Sussex.
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